Je vis déconnecté de la réalité du temps depuis quelques semaines, dans le cadre d’expériences personnelles et des rencontres de la vie. Mais là n’est pas la question. Ce fut l’occasion de mener une réflexion sur la précarité. Non pas celle qu’on vous présente depuis quelques semaines, celle de ces travailleurs. Non je voudrais parler d’une autre forme de précarité, celle que Madame Parisot à présentée comme l’une des plus grandes de la vie : l’amour.
Loin de moi l’idée de vouloir vous sortir un grand discours sur les petits oiseaux, les couchers de soleil sur une plage, ou la façon de faire des enfants. Juste parler un peu de ça. Parce que j’en ai marre de la place des relations amoureuses dans notre société occidentale. J’en ai marre de ces normes, de cette pression et de cette nouvelle vision qui veut qu’une relation soit maintenant jetable. On peut en changer comme de rasoir, dans une sorte d’éternelle précarité.